L’invité de la rédaction de ce jour est le président de l’OIDH (l’Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme) et par ailleurs le porte-parole d’un groupe d’ONG contestant une ordonnance présidentielle de juillet 2024 et appelant à son retrait parce que contre les intérêts de la société civile. Eric-Aimé Sémian répond à cet effet aux questions de Francis Kassi.
En prélude aux élections locales du 2 septembre 2023, l’Observatoire Ivoirien des Droit de l’Homme de Cote d’Ivoire (OIDH), a produit un communiqué de presse dans lequel il interpelle les leaders politiques quant à l’apaisement du climat politique avant et après les élections.
On écoute à cet effet Ake Mel Cristiano, juriste et membre de l’observatoire ivoirien des Droits de l’homme.
Place à présent à l’Invité de la Rédaction et notre Invité aujourd’hui est Maitre Aké Mel Christiano. Il est Juriste, il est Responsable des Projets et de la Formation à l’OIDH (l’Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme). Reçu par Soro Adam’s, il reviendra sur le dossier des 26 militants du PPA-CI (le Parti de Laurent Gbagbo) arrêtés le 24 février 2023 et condamnés le jeudi 09 mars 2023 à deux ans de prison ferme pour trouble à l’ordre public. Il dira pourquoi son organisation à savoir l’Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme (l’OIDH) dénonce cette condamnation. Maitre Aké Mel Christiano, Invité de la Rédaction de la Radio de la Paix, c’est un entretien que nous vous invitons à suivre.
La condamnation le 09 mars 2023 de 26 militants du Parti des Peuples Africains Cote d’Ivoire (le PPA-CI) à deux ans de prison ferme pour trouble à l’ordre public continue de susciter des réactions aussi bien sur la toile que du coté des Défenseurs des Droits de l’Homme. Ce lundi 13 mars à Abidjan, l’OIDH (l’Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme) s’est invitée dans le Dossier. Responsable des Projets et de la Formation à l’OIDH, Maitre Aké Mel Christiano, Juriste, Responsable des projets et de la Formation de l’OIDH explique pourquoi cette organisation (l’OIDH) se sent interpelée par cette affaire. Maitre Aké Mel Christiano,
Situation sociopolitique nationale: Affaire Stéphane Kipré, le vice Président du PPA-CI (le Parti des Peuples Africains-Cote d’Ivoire) empeche de mener des activités politiques à Bouhitafla (Vavoua) et à Kani Tiésso et Morondo dans la Région du Worodougou. Dans ces zones, mieux dans ces localités, le vice Président du nouveau Parti de Laurent Gbagbo aurait été empeché d’animer des meetings de mobilization ou de remobilization de leurs militants et sympathisants. En lien avec ce dossier qui depuis quelques jours donne lieu à des éclats de voix voire des invectives entre acteurs politiques et chapelles politiques dans l’arène politique, l’OIDH (l’Obervatoire Ivoirien des Droits de l’Homme) ne cache pas ses apprehensions et inquiétudes par rapport surtout aux futures échéances électorales en Cote d’Ivoire. En consequence, cette ONG “demande que l’État de Cote d’Ivoire garantisse les libertés publiques pour tous sur l’étendue du territoire et appelle à des enquetes approfondies pour situer les responsabilités“. Secrétaire en charge de la Formation et des Projets de l’OIDH, Maitre Aké Mel Christiano, que vous allez écouter, se fait ici l’écho de la substance de la déclaration faite le mardi 21 février 2023 par son ONG.
Le développement de l’actualité socio politique. En Côte d’Ivoire ces derniers mois passée en revue par l’OIDH l’observatoire Ivoirien des droits de l’homme.
Des discussions touchant aussi bien à la réconciliation, à la cohésion sociale au pouvoir d’achat qu’à la sécurité.
L’OIDH ouvre les portes de la réflexion sur différentes questions de société.
ERIC SEMIEN en est le premier responsable ses propos ont été recueillis par MATA TOURE.
Trente (30) magistrats civils et militaires ivoiriens bénéficient depuis hier mercredi, et ce, jusqu’au vendredi 27 mai à Yamoussoukro, d’un renforcement de compétences sur les crimes internationaux. Initié par l’Observatoire Ivoirien des Droits de l’Homme et ses partenaires, ce renforcement des capacités s’inscrit dans le cadre de la lutte contre l’impunité en Côte d’Ivoire. Il contribue d’une part, à permettre aux bénéficiaires à avoir une vue harmonisée des procédures d’identification, de qualification de jugement des crimes internationaux et d’autre part à les outiller sur leurs stratégies de défense. Correspondance, Emile YAO.
