Combattre les pesanteurs socio-culturels, mettre les femmes dans les conditions financières tout en prévoyant des mesures légales de rétorsions. Ce sont là quelques solutions au non-respect par les partis politiques du quota légal de 30% de femmes dans les assemblées élues.
C’était dans un panel organisé ce mardi 27 juin à Abidjan, par le NDI (National Democratic Institute), groupe de réflexion américain représenté en Côte d’Ivoire, sur le thème « Elections municipales et régionales de 2023 : la faible représentation des femmes parmi les cadres politiques désignés pour la conduite des listes des partis politiques : leçons, défis et perspectives. » Le compte rendu de Francis Kassi.