Protection civile, les résultats du projet de renforcement des capacités de prévention des catastrophes pour l’amélioration de la protection civile et perspectives ont été présentés ce mardi 13 juin 2023 par l’ONPC, l’Office National de la Protection Civile à son siège à Abidjan-Cocody à l’Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire et à la représentante résidente du PNUD, le Programme des Nations-Unies pour le Développement. Témoin pour Radio de la paix, Jean Claude Mabea.
Abidjan abrite un atelier régional de revue conjointe et planification sur la gouvernance des frontières en Afrique de l’Ouest.
Objectif, procédé à un examen général des résultats obtenus, les défis les leçons apprises durant les 3 dernières années de mise en œuvre des politiques sous régionale et régionale UEMOA CEDEAO UA.
COMPTE RENDU Mata Toure.
Dans le cadre de la commémoration de l’édition 2023 de la journée africaine des frontières à Laleraba, ville frontalière d’avec le Burkina Faso le vendredi 09 juin dernier, une sensibilisation sur la paix et le vivre ensemble a été faite. Sur la base de plusieurs similitudes portant sur les activités et la culture, KOUAKOU Mathurin pour le compte de l’observatoire de la cohésion a invité les populations du Burkina Faso et de Cote d’Ivoire à œuvrer dans le sens de l’harmonie entre les deux peuples, en trouvant toujours des solutions pacifiques aux éventuels conflits qui pourraient les opposer. On l’écoute dans de propos recueillis par Marcel BONY.
« Le Burkina Faso s’engage à faire des zones frontalières des espaces de coopération et de développement socioéconomique, afin d’éviter les conflits frontaliers de tous genres ». Cette affirmation a été faite par le colonel Jean Charles Somé, gouverneur de la région des cascades au Burkina Faso, à l’occasion de la commémoration de l’édition 2023 de la journée africaine des frontières à Laleraba, ville frontalière d’avec le Burkina Faso le vendredi 9 juin dernier. On l’écoute dans des propos recueillis par Marcel BONY.
Le succès de la coopération transfrontalière entre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire repose sur une volonté commune, un engagement des ressortissants de ces deux pays à raffermir les liens qui les unissent. Le préfet de la région du tchologo Jean Pierre SORY a insisté sur ces notions qui selon lui constituent un gage pour le bonheur des populations. On l’écoute au micro de Marcel BONY, a l’occasion de la commémoration de l’édition 2023 de la journée africaine des frontières à Laleraba, ville frontalière d’avec le Burkina Faso le vendredi 09 juin dernier
Les populations, en particulier les jeunes doivent aider les forces de défense et de sécurité à instaurer un climat de paix. A cet effet, Diakalidia KONATE, secrétaire exécutif de la commission nationale des frontières de Cote d’Ivoire a insisté sur les notions de vigilance et de collaboration avec les forces de défense dont doivent faire preuve les jeunes afin de garantir la sécurité des biens et des personnes dans les zones frontalières. On l’écoute au micro de Marcel BONY, à l’occasion de la commémoration de l’édition 2023 de la journée africaine des frontières à Laleraba, ville frontalière d’avec le Burkina Faso le vendredi 9 juin dernier.
La localité de Laleraba située dans la sous-préfecture de Kaoura, dans le département de Ouangolodougou, dans la région du Tchologo a accueilli le vendredi 9 juin dernier, la commémoration de l’édition 2023 de la journée africaine des frontières articulée autour du thème, « Les frontières face aux défis de la coopération transfrontalière, de la cohésion sociale et de la cohabitation pacifique ». Cette célébration conjointe du Burkina Faso et de la Côte d’Ivoire vise à informer et sensibiliser les acteurs frontaliers, les responsables de l’administration et le grand public sur les thématiques en lien avec la gestion des frontières, mais également à faire la promotion de la coopération transfrontalière auprès des acteurs frontaliers étatiques et non étatiques pour une coexistence pacifique dans les espaces frontaliers. Les échos avec Marcel BONY.
La direction de l’unité nationale du ministère de la Réconciliation et de la cohésion nationale a organisé récemment à Bouna, un atelier de sensibilisation des acteurs sociaux d’influence sur la promotion de l’unité nationale à l’approche des élections et préparé l’esprit des communautés qui n’ont pas encore la saisie de la portée d’un camp de réfugiés en construction dans le département de Bouna, à l’acceptation des demandeurs d’asile malgré la situation sécuritaire dans zone de Bouna. Cette mission était conduite par SEKA MICHEL, le directeur de l’unité nationale.
De Bouna, on en sait un peu plus avec JEROME KOUASSI, notre correspondant dans le Bounkani
Le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité en Côte d’Ivoire a procédé Cérémonie d’inauguration du Centre de Traitement des Informations Policières CTIP suivie de la première réunion du comité de pilotage du système d’information policière pour l’actuel de l’OUEST (SIPAO).
Compte rendu Mata TOURÉ.
Le PNUD a organisé à Bouna une session de capacitation et de partage d’expériences avec le corps préfectoral, les maires, les membres du conseil régional, les forces de défense et de sécurité, les organisations des femmes, des jeunes, les organisations communautaires ainsi que les chefs traditionnels sur l’extrémisme pour avoir une compréhension commune sur l’intérêt et la nécessité de renforcer le respect et la promotion des droits de l’homme, la lutte contre les violences basées sur le genre qui sont des facteurs sur lesquels les groupes extrémistes s’appuient pour essayer de mener des initiatives, et surtout pour avoir une compréhension commune sur les actions de prévention de l’extrémisme violent avec l’afflux incessant de réfugiés dans la région du Bounkani. Docteur AIME ROBEYE RIRANGAR du PNUD bureau de BONDOUKOU.
C’était docteur AIME ROBEYE RIRANGAR, du bureau du PNUD, BONDOUKOU, responsable du projet « Engagement des jeunes et des femmes pour la consolidation de la paix, la prévention des conflits et le renforcement de la cohésion sociale dans le Nord de la Côte d’Ivoire ». Projet financé par la république fédérale d’Allemagne. Il était au micro de JEROME KOUASSI à Bouna dans le Bounkani.
