La campagne pour les élections législatives anticipées du 17 novembre bat son plein au Sénégal. Et le Pastef, qui convoite une franche majorité parlementaire pour gouverner, annonce son refus d’utiliser l’argent public pour financer sa campagne. Le parti du Premier ministre Ousmane Sonko a ainsi décidé de mobiliser des fonds en vendant des tickets, entre 1000 francs et un million, pour accéder à certains meetings du parti et en organisant des collectes de dons, s’inspirant du modèle des campagnes électorales américaines.
POUR NOUS EN PARLER LA REDACTION RECOIT MINE DAOUDA CHRONIQUER JUDICIAIRE QUI DONNE DES EXPLICATIONSSUR LE FINANCEMENT DES PARTIS POLITIQUE AU SENEGAL.
IL REPOND AUX QUESTIONS DE MATA TOURE.