Nommée par décret présidentiel mardi dernier, Chantal Nanaba Camara, sera la 1ere femme à la tête du Conseil Constitutionnel.
Mais au-delà de la volonté politique affichée à promouvoir le genre, c’est sur son indépendance et sa responsabilité que les regards se tournent désormais.
Pourra-t-elle revendiquer et assumer le devoir d’ingratitude eu égard à sa désignation ?
Voici l’avis de Dr Sévérin Kouamé, Sociologue et Enseignant-chercheur à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké.
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