Un an avant l’échéance de décembre 2023 qui prévoit, selon la loi, que les terres non immatriculées à cette date tombent dans le patrimoine de l’Etat, moins de 400 personnes ont pu se faire établir un certificat foncier dans le Loh-Djiboua. Au regard de ce nombre peu significatif, le conseil régional du Loh-Djiboua a lancé vendredi 16 décembre, une ultime opération régionale d’immatriculation des parcelles foncières en faisant appel à un cabinet d’avocats spécialisé dans ce domaine pour alléger les démarches et les coûts de l’opération. Correspondance. Abel César Cassin depuis le Loh-Djiboua.
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