École ivoirienne: Entre les fondateurs d’écoles et le SYNEPPLACI (le syndicat national des enseignants et personnels des écoles privées laïques de Cote d’Ivoire) ce n’est pas le grand amour en ce moment. En cause: le barème des salaires de 1994 et la Convention collective de 1994. Le dossier était d’ailleurs au cœur d’une Assemblée Générale, tenue le samedi 22 octobre dernier à Abidjan. Et au terme de celle-ci, le syndicat, face aux fondateurs d’écoles, a pris la décision de rejeter et le barème et la Convention collective de 1994. Sur les contours de cette décision, nous écoutons Camara Oumar, le Secrétaire Général national du SYNEPPLACI (le syndicat national des enseignants et personnels des écoles privées laïques de Cote d’Ivoire). Camara Oumar.
Camara Oumar, Secrétaire Général du Syndicat National des Enseignants et Personnels des Écoles Privées Laïques de Côte d’Ivoire (SYNEPPLACI) – Non au barème des salaires et à la Convention Collective de 1994
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