Depuis quelques jours, les forces de l’ordre et de sécurité de Bouaké traquent les taxis et autres véhicules de transport en commun qui utilisent le gaz butane en lieu et place du carburant. Cela a suscité le mécontentement des conducteurs de taxis-ville qui ont observé soixante-douze heures d’arrêt de travail. Suite à ce débrayage, le préfet de police de Bouaké, a convié le mercredi 30 novembre, les acteurs du transport à une rencontre en vue de leur expliquer le bien-fondé de la meure d’interdiction du gaz butane dans les véhicules.
Le compte rendu de Joseph Assalé, notre correspondant régional dans le Gbêkê.
/
(Visited 28 times, 1 visits today)