Il y a quelques mois, 45000 hectares du parc national de la Comoé échappaient à la surveillance des agents du fait du fait de la menace terroriste. Mais aujourd’hui, la situation sécuritaire s’est beaucoup améliorée et les agents chargés de la surveillance de cette aire protégée, peuvent assurer convenablement leurs missions. C’est ce qui ressort de l’atelier de suivi du deuxième trimestre du plan d’opérations de l’année 2022 du parc national de la Comoé qui s’est tenu le 6 juillet dernier à Bondoukou.
Le reportage de Joseph Assalé, notre envoyé spécial.
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